On ne nous en parle pas beaucoup au quotidien, mais on recense des milliers de vols d’œuvres d’art chaque année à travers le monde. Certaines affaires sont résolues, mais d’autres tableaux restent introuvables. On ne peut pas comprendre comment ces voleurs font pour ne pas laisser de traces. Découvrez dans les lignes qui suivent les histoires des vols de tableaux les plus rocambolesques.
Le vol au Musée d’Art moderne de Paris en 2010
La presse n’a pas raté ce cambriolage et le centre a perdu une centaine de millions d’euros dans ce coup. La police a bel et bien trouvé le coupable, mais les tableaux volés dont le Piccasso, le Modigliani, le Léger, la Matisse et le Braque n’ont pas été exposé à nouveau au musée. Le cambrioleur est un certain Vréjan Tomic et il travaille pour le compte d’un grand trafiquant d’œuvre d’art. Ce dernier avait besoin d’un seul tableau, mais lorsqu’il arrive sur les lieux, le cambrioleur prend ce qu’il peut avec lui. Ce vol n’est pas passé inaperçu et il a été plus difficile pour le voleur et son complice d’écouler le tableau sur le marché noir. La police a réussi à remonter jusqu’à eux.
Le vol au musée Isabella Steward Gardner, mars 1990
Ils n’étaient que deux mais en 81 minutes, ils ont pu prendre 13 œuvres d’art d’une valeur de 500 millions de dollars. Nos deux cambrioleurs étaient vêtus d’une tenue de policier et il a été plus facile pour eux de berner les vigiles. Après le constat, on a pu conclure que ces cambrioleurs n’étaient pas des experts en art, car ils n’ont pas pris les œuvres les plus chères du musée et jusqu’ici, les cadres dans ce musée restent vides et l’affaire n’est toujours pas résolue.